Philippe Favier. All over (tirage de tête)
Tirage de tête du catalogue de l'exposition monographique au musée de Valence du 25 septembre 2020 au 31 août 2021.
La grande rétrospective de Philippe Favier présentée au musée de Valence (septembre 2020 – août 2021), est l’occasion de publier sa première monographie d’envergure. Cet ouvrage de 250 pages, imaginé comme un véritable objet à la fabrication soignée, permet de retracer le parcours de l’artiste, depuis ses premières réalisations jusqu’aux œuvres les plus récentes et, pour la plupart, inédites. Accompagné d’une iconographie riche et variée, il rassemble des textes d’auteurs, historiens de l’art et conservateurs faisant autorité : Bernard Ceysson, Thierry Raspail, Pascale Soleil, Amélie Adamo. Tous apportent, par leur contribution, un éclairage essentiel sur le travail de Philippe Favier.
Pour cette importante édition, l’artiste a spécialement réalisé un tirage de tête.
Le livre est enrichi d’un dessin original à la gouache, avec un marquage sur papier découpé : « Éclipse ». Chacun des 15 dessins formant l’édition de tête est unique. Ce dessin réalisé sur un feuillet en papier Sirio Ultra Black est inséré à l’ouverture du livre.
Fiche technique
- Nombre de pages
- 252
- Format
- 25 x 26 cm
- Langue
- Français/Anglais
- ISBN
- 978-2-36306-285-7
- Tirage
- 15 exemplaires
- Année de parution
- 2021
Favier (Philippe)
Depuis les années 1980, Phillipe favier développe un univers singulier sans équivalent dans le monde de l'art contemporain. Inventivité et liberté caractérisent son oeuvre déplaçant les codes établis. Né à Saint-Etienne en 1957. Vit et travaille en France. Dans chacune des nombreuses périodes qui caractérisent le travail de Philippe Favier depuis une trentaine d’années, on peut apercevoir combien le recours à l’horizon semble incontournable, qu’il aliène les corps comme dans certains collages(1), qu’il dresse le portrait d’une morte asperge(2), qu’une mystérieuse architecture étale son mince silence sur plus de deux mètres(3) ou que 101 boîtes de sardines conservent leur mystère(4)… Il serait fastidieux de dresser une liste et complexe d’en extraire le sens. Depuis ses débuts, l’usage du stylo Bic en fait foi, le travail de Philippe Favier est à comprendre sous le signe de l’écriture. En 1982, il confiait qu’il lui semblait « dessiner la majuscule d’un texte à venir ». Au coeur de l’oeuvre, les pages se sont inscrites au fil des ans. En 2008, Le Grand Livre s’ouvre comme un nouveau chapitre.
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