Claude Viallat - Chant Funèbre
Federico Garcia Lorca
Chant funèbre pour Ignacio Sánchez Mejías
Claude Viallat
Dessins
Chant funèbre pour Ignacio Sánchez Mejías (Llanto por Ignacio Sánchez Mejías) est sans doute l’un des plus célèbres poèmes de Federico Garcia Lorca, publié en hommage à son ami le torero Ignacio Sánchez Mejías, mort à l’été 1934 d’une blessure reçue du toro Granadino dans les arènes de Manzanares. Ce poème fut de nombreuses fois illustré et notamment par Picasso.
Lecteur de Garcia Lorca depuis sa jeunesse et passionné de tauromachie, Claude Viallat s’empare, à son tour, de ce poème et l’accompagne de 44 dessins originaux. La traduction du poème est celle d’Alain Montcouquiol, ami de Claude Viallat et frère de Nimeño II, torero gravement blessé en 1989 dans les arènes d’Arles.
Le livre d’un format de 33 x 25 cm comprend 76 pages et comporte 44 dessins de Claude Viallat (dont 4 leporello de 6 dessins). La mise en page est réalisée par Bernard Chauveau Édition. La photogravure et l’impression, sur papier BFK Rives Blanc 250 g, est confiée aux Artisans du Regard, à Paris, et la confection de l’étui toilé à l’atelier Dermont-Duval, à Paris.
Le tirage à 35 exemplaires comprend 10 exemplaires de tête, numérotés de
1 à 10, signés et accompagnés d’un dessin original à l’encre de Claude Viallat (format 33 x 25 cm), et 25 exemplaires courants signés par l’artiste et numérotés de 11 à 35.
Fiche technique
- Format
- 33 x 25 cm
- Langue
- Français / Espagnol
- Tirage
- 35 ex. dont 10 ex. de tête avec un dessin de Claude Viallat
- Justification
- Signés et numérotés
- Technique
- 76 pages & 44 dessins de Claude Viallat (dont 4 leporello de 6 dessins) sur papier BFK Rives Blanc 250 g
- Année de parution
- 2017
Viallat (Claude)
Né à Nîmes en 1936 dans une famille protestante, Claude Viallat a grandi dans le petit village d’Aubais (Gard), riche d’une longue tradition taurine. Il rentre aux Beaux Arts de Nîmes. C’est là qu’il rencontre une partie des artistes avec lesquels il fonde plus tard, le mouvement Supports/Surfaces. L’exposition fondatrice aura lieu en 1969 au musée d’Art moderne de la Ville de Paris. Le style de Claude Viallat s’inscrit dans la durée : il se caractérise par un système de marquage répétitif réalisé au moyen d’une forme « aléatoire ». Sa première exposition dans un musée se tient en 1974 à Saint-Etienne. Un plus large public le découvre en 1980 grâce au CAPC de Bordeaux, puis, deux ans plus tard, à Paris avec la grande rétrospective du Centre Pompidou. Viallat a longtemps enseigné dans différentes écoles des Beaux Arts en province puis à Paris. Il ne se passe guère d’année sans que ses œuvres soient exposées. Ces dernières années, au musée Matisse du Cateau-Cambrésis, à Clermont-Ferrand, Bergame, Céret, Toulon et Perpignan, au château de Villeneuve à Vence, à Biarritz, Nîmes, Castries, Colmar, Hégenheim, au Perthus, au Pont du Gard.
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