Cher Pierre Larousse…
Autant d'hommages que de lettres de l'alphabet
pour le bicentenaire du père du dictionnaire moderne…
Nous entrons dans l’année du bicentenaire de la naissance
de Larousse (1817-1875) et, dans la suite des Cher Corbu,
Cher Matisse, Cher Nicéphore et Chère Camille Claudel,
ce Cher Pierre Larousse est une déclaration libre de ton
à l’infatigable homme de progrès, à l’heure où chacun
considère avec inquiétude les questions de l’apprentissage
de la lecture et de l’écriture, de l’orthographe en danger,
de l’illettrisme en hausse, de l’évolution de la langue, de la
réforme de l’orthographe et enfin, à l’heure des tweets et
des textos, d’un nouveau vocabulaire.
Les contributeurs se sont replongés de bonne grâce dans les
souvenirs de leur premier dictionnaire et du Larousse que l’on
se passait de mains en mains, que l’on feuilletait avidement
ou que l’on affectait à quelque contre-emploi, mêlant roman
familial et Histoire. Ils se sont plu à évoquer le mot que l’on
cherche ou que l’on déforme, le mot de l’année, le mot à
bannir et celui qui reste à inventer, des mots, toujours des
mots et enfin : être ou ne pas être - dans le Larousse…
Venez rencontrer les auteurs du Cher Pierre Larousse… à la BnF
Fiche technique
- Nombre de pages
- 80
- Format
- 20 x 25 cm
- Langue
- Français
- ISBN
- 9782363061638
- Année de parution
- 2017
Favier (Philippe)
Depuis les années 1980, Phillipe favier développe un univers singulier sans équivalent dans le monde de l'art contemporain. Inventivité et liberté caractérisent son oeuvre déplaçant les codes établis. Né à Saint-Etienne en 1957. Vit et travaille en France. Dans chacune des nombreuses périodes qui caractérisent le travail de Philippe Favier depuis une trentaine d’années, on peut apercevoir combien le recours à l’horizon semble incontournable, qu’il aliène les corps comme dans certains collages(1), qu’il dresse le portrait d’une morte asperge(2), qu’une mystérieuse architecture étale son mince silence sur plus de deux mètres(3) ou que 101 boîtes de sardines conservent leur mystère(4)… Il serait fastidieux de dresser une liste et complexe d’en extraire le sens. Depuis ses débuts, l’usage du stylo Bic en fait foi, le travail de Philippe Favier est à comprendre sous le signe de l’écriture. En 1982, il confiait qu’il lui semblait « dessiner la majuscule d’un texte à venir ». Au coeur de l’oeuvre, les pages se sont inscrites au fil des ans. En 2008, Le Grand Livre s’ouvre comme un nouveau chapitre.
Hausherr (Pascal)
Né en 1957, Pascal Hausherr vit et travaille à Paris. Pascal Hausherr s’affirme à partir du milieu des années 1990 par un travail alliant autobiographie et mise en scène (dont Aimez-nous !, 1997, et Roman conjugal, 2000, travaux qui seront exposés respectivement à la galerie Florence Arnaud à Paris en 1999 et 2000, aux Rencontres photographiques de Solignac, Haute-Vienne, en 2001, et au Centre culturel de Brive, Corrèze, la même année ; un portfolio intitulé "Les Époux" paraît dans le webmag Purpose n° 7, au printemps 2008). Pascal Hausherr se consacre également au paysage (Paysage français, 1998-1999, et Vingt ans après, réalisé au cours d’une résidence d’artistes à Chamalot en 2006 et exposé aux Printemps de la Haute-Corrèze en 2007 et 2009). Avec la série Catastrophes (2002), PAscal Hausherr effectue un retour critique dans les rues de Paris que prolonge l’ironie politique de "Aïe, aïe, aïe !" (2003-2004). Suivront, de 2004 à 2006 "De quoi demain", en 2005 Beijing (Pascal Hausherr était justement invité à séjourner et à exposer à Pékin dans le cadre du festival DIAF), travail qui représente à la fois le deuil d’une utopie politique et les délices d’une pure préoccupation photographique (exposé par ailleurs, à l’invitation de Michel Poivert, commissaire de « La Région humaine », dans le cadre du Septembre de la photographie, au Musée d’art contemporain de Lyon en 2006). En 2007, Pascal Hausherr achève une série intitulée GuerreTM, volet qui clôt le triptyque engagé avec "Catastrophes" et "De quoi demain". En 2008, Pascal Hausherr réalise une série de 263 photos numériques, intitulée "Encore", destinée à une projection en diaporama. Fait nouveau, ce début d’année 2009 voit le noir et blanc apparaître dans "Tous les matins je vois l’horizon", courte série réalisée à la chambre 10 x 12,5 cm. Début juin 2009, Pascal Hausherr est en résidence au couvent de La Tourette, pour le cinquantenaire de sa construction par Le Corbusier. Ses oeuvres sont conservées principalement dans les collections publiques de la Bibliothèque nationale de France à Paris (Cabinet des estampes et de la photographie), au musée Carnavalet à Paris et à la Maison européenne de la photographie à Paris, ainsi que dans diverses collections privées. Pascal Hausherr est l’auteur de plusieurs livres d’artistes (entre autres "Retable de Timimoun", 1994, et "Demain les anges", 1995, publiés avec des textes de Marie-Hélène Clément, aux éditions du Rouleau Libre, à Paris et à Marseille).
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