Fabrice Hyber - Je s'aime - tapis feutre peint original

Fabrice Hyber - Je s'aime - tapis feutre peint original

Artiste insaisissable, Fabrice Hyber n’a cessé de bousculer le monde de l’art avec ses POF, ses expositions inclassables transformant les musées en supermarché ou en salons de coiffure...

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Artiste insaisissable, Fabrice Hyber n'a cessé de bousculer le monde de l'art avec ses POF (prototypes d'objets en fonctionnement), ses expositions inclassables transformant les musées en supermarché ou en salons de coiffure.

Au cœur de sa pratique se situe le concept de rhizome qui lui permet de convoquer mille références, d’imaginer mille solutions qu’il projette le plus souvent dans des dessins et aquarelles. Vient ensuite le temps des objets, le temps de la peinture et des dessins aussi. L’arborescence des activités de Fabrice Hyber est donc infinie, sans cesse ouverte, fonctionnant par hybridation, mutations, par glissement d’un domaine à l’autre, établissant des liens entre des formes variées, sans cesse connectées sur le social, sur le politique. Rien n’est définitif, tout est sujet au jeu, à l’appropriation, au déplacement des sens.

Je s’aime, l'édition réalisée pour Bernard Chauveau Éditeur et Le Néant éditeur, fonctionne comme un jeu ouvert dont les règles sont sujettes à modification et interprétation. Régulièrement l'artiste produit des « peintures homéopathiques », de vastes toiles où sont collées des notes, des esquisses, des annotations diverses et des dizaines de dessins. Une sorte de story-board autour de toutes ses activités. Pour la présente édition, Fabrice Hyber a choisi de donner à chacun le loisir de recomposer lui-même une peinture homéopathique. Soit en l'occurrence 112 dessins (20 x 20 cm) qui, comme autant de cartes à jouer, doivent se positionner sur une feutrine de couleur verte (150 x 150 cm) imprimé recto verso et servant de tapis de jeu. Chaque joueur est ensuite libre de recomposer sa peinture, se servant des cartes comme autant de possibilités pour déborder le cadre du feutre, envahir les murs et contaminer les plafonds afin de construire une invitation au rêve et à l'imaginaire. Toujours fluctuante, Je s'aime est avant tout une formidable occasion de transformer chacun en artiste, en auteur libre d'une composition ouverte.

Pour l'édition de tête (20 exemplaires uniques), l’artiste réalise une intervention originale sur chaque tapis de feutre. L’ensemble est présenté dans un luxueux coffret en bois imaginé par Fabrice Hyber et sur lequel est reporté le titre en sérigraphie. ISBN 9782915837797. Prix sur demande auprès de l’éditeur.

9782915837797

Fiche technique

Format
80 x 80 cm
ISBN
9782915837797
Tirage
20 ex.
Justification
Signés et numérotés
Technique
Présenté dans un coffret en bois sérigraphié
Feutre de laine gris rehaussé d'une peinture originale de l'artiste
Année de parution
2011

Hyber (Fabrice)


Artiste insaisissable, Fabrice Hyber n'a cessé de bousculer le monde de l'art avec ses POF (prototypes d'objets en fonctionnement) et ses expositions inclassables tranformant les musées en supermarchés ou en salons de coiffure. Fabrice HYBER est né en 1961 à Luçon en Vendée. Diplôme de l’école des Beaux-arts, il expose pour la première fois à Nantes en 1986 sous le titre Mutation. En 1989, naît d’une commande publique L’homme de Bessines, petit bonhomme vert de 86cm de haut, personnage ordinaire basculant dans l’étrangeté extraterrestre. Installés sur le réseau d’eau de la commune, les « hommes de Bessines » font office de fontaine puisqu’ils crachent de l’eau par tous les orifices corporels qui informent le cerveau. En 1991 l’artiste réalise Traduction - le plus gros savon du monde. Inscrit au Guiness des records, ce savon de 22 tonnes, moulé dans une benne de camion et présenté d’un centre Leclerc à l’autre. Il présente la même année son premier POF (Prototypes d’Objets en Fonctionnement). Après avoir transformé en 1995 le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris en « Hybermarché » et installé l’année suivante un salon de coiffure professionnel au Centre Georges Pompidou à l’occasion de l’exposition Féminin/Masculin, Fabrice Hyber est choisi en 1997 pour représenter la France dans le cadre de la 47ème Biennale de Venise. Il en repartira avec le « Lion d’or » après avoir transformé le Pavillon Français en studio d’enregistrement et de diffusion d’émissions télévisées. En 2001 Fabrice Hyber imagine à Tokyo le premier des C’hyber rallyes, le second aura lieu la même année à Vassivière en Limousin. En 2002 plus de quatre cents parisiens de battent le pavé de la capitale pour le Paris c’hyber rallye organisé avec le Musée d’Art Moderne de la Ville. Parmi ses réalisations, 2003 et 2004 sont deux années centrées autour de L’Artère – le jardin des dessins, œuvre pérenne, imaginée et créée par Hyber, à la demande de l’association Sidaction qui souhaitait commémorer les vingt années de la pandémie du sida. Plus récemment, Hyber se voit confier, la réalisation de la première sculpture contemporaine pérenne du Jardin du Luxembourg ; « Le Cri, l’écrit », bronze polychrome de 3,70m de haut commémore l’abolition de l’esclavage (2007). Pour l’ouverture du Laboratoire, nouveau lieu parisien consacré à l’Art/Science, Fabrice Hyber présente Matière à penser / Food for thought. Née de sa rencontre avec le professeur Robert Langer, cette exposition est le fruit d’un dialogue entre un artiste et un scientifique autour de la transformation des cellules souches. En 2010, il est invité à l’Institut Pasteur pour l’exposition « Pasteur’ Spirit » : Fabrice Hyber dissémine ses œuvres dans tout l’Institut autour du thème de la pensée et de la recherche en mouvement. http://www.hyber.tv/



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